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Hommage à Stradivaius JAMIS

par le Colonel GEYRES, président de l'ANAI

Stradivarius JAMIS

Nous sommes rassemblés pour dire un dernier adieu, ou plutôt un au revoir à notre cher ami Stradivarius JAMIS, notre camarade de combat et d’activités associatives.

Il part au maquis à 16 ans et demi, participe à de nombreuses embuscades et avec un camarade il fait prisonnier 5 allemands avec leur armement, puis après le débarquement des alliés il s’engage et fait la campagne de France et d’Allemagne.

Puis c’est l’Indochine et au retour le Maroc à une époque troublée et il lui est attribué plusieurs lettres de félicitation, enfin l’Algérie.

C’est le retour en Europe d’abord Berlin puis Nîmes. Ses notes soulignent toujours sa compétence technique, sa disponibilité et son sens de l’humain vis-à-vis de ses subordonnés.

En 1972, c’est la retraite. Que cela ne tienne, notre ami entreprend une nouvelle carrière comme expert-automobile puis expert judiciaire auprès de la cour d’appel de Nîmes ; il est apprécié pour sa compétence et son dynamisme.

Après sa deuxième retraite, il se lance dans l’humanitaire, en s’engageant dans la « banque alimentaire » où le responsable, le gal Belgodère se félicite de son profond souci de l’humain et de sa totale disponibilité.

Enfin il nous rejoint au bureau des Anciens d’Indochine où il est chargé d’organiser l’ensemble de nos activités lucratives où il réussit parfaitement. L’ancienne présidente comme moi-même nous n’avons qu’à nous louer de ses initiatives en soulignant toutes ses qualités signalées ci-avant.

Mon cher stradi, tu nous as quittés brutalement, beaucoup trop tôt à notre goût ; nous ne t’oublierons pas de sitôt, nous te remercions pour tous les services rendus soit au service de la France soit au service de tes concitoyens.

Ma chère Simone, tu peux compter sur nous, soit les anciens d’Indo, soit les marsouins, pour te soutenir dans ces moments douloureux et nous te présentons, ainsi qu’à toute ta famille nos profondes condoléances.

Au revoir, STRADI

Stradivaius JAMIS